Etre un boulet...
(!!! attention !!! : L'auteur n'aborde pas ici, la méthode pour devenir un Steevy Boulay, ce formidable penseur sorti de la première télé-réalité française et désormais devenue chroniqueur à succès, entre autres chez Laurent Ruquier...)
Être un boulet c'est (se) mentir, biaiser, tricher, se cacher derrière des barrières que la vie t'impose (comme à tout le monde) et ne jamais les franchir...parfois les contourner, mais au final ne jamais les franchir, refuser d'être le "hurdler" de sa propre vie.
C'est dire et savoir des choses sur soi et la vie,mais ne pas faire en sorte de les affronter par peur de l'échec...
C'est connaître la maxime "il vaut mieux ne pas y arriver que ne pas essayer", savoir que c'est la vérité, mais ne pas la mettre en pratique...
Être un boulet, c'est fuir les conflit nécessaire aux avancés...
c'est être peureux, lâche (envers soi même et ses proches) et le savoir...
c'est refuser de "grandir", refuser les réalités...c'est "se laisser vivre".
Être un boulet, c'est se créer des projets et des rêves presque utopique, se laisser persuader (et s'en persuader) que l'on est pas fait pour une vie "normale", se croire "en marge", se croire "anti-conventionnel", penser que l'on est pas comme les autres, mais ne rien faire pour ne pas l'être ou du moins ne rien faire pour prouver, justifier qu'on est "différent"...
C'est vouloir avancer, mais ne rien faire pour, c'est être dans la théorie (dans sa tête, quand on se parle seul à seul) et non pas dans la pratique, dans les actes...
Être un boulet, c'est vivoter, galérer...demander des "coups de pouce" financier, et ramer pour rendre la pareille...
C'est ne pas s'assumer finalement, et être léger par rapport à cela...
C'est voir la réalité en face,mais ne pas se la gifler...
Être un boulet, c'est donner des leçons et des conseils de vie aux autres (parce que tu te masturbes intellectuellement) et ne pas les appliquer à soi même...comme si ton entourage était des cobayes, des "essais", des couvertures, des protections, des "premières lignes"...
Être un boulet, c'est s'inventer un personnage...souriant, vivant, drôle, optimiste, iintelligent, réfléchi, imaginatif, aérien, candide...
Mais être anxieux, névrosé, parano, craintif, pragmatique, laisser sa vie en jachère...
C'est paraître "rose", alors que l'on est "noir"...
C'est vouloir être là pour les autres et s'oublier...vouloir être là pour les autres alors que l'on est pas là pour soi-même...
C'est se créer multiples passions, engagement, curiosités pour se sentir "utile" à la société pour masquer que l'on ne "sert à rien".
Être un boulet, c'est être incapable de prendre des décisions fortes, de bousculer les choses et (ce)ceux que l'on veut bousculer pour avancer...
c'est faire du surplace...
C'est avoir besoin d'aide, des autres, mais refuser de l'avouer pour paraître fort
Être un boulet, c'est faire de l'empathie pour être sympathique, mais ne pas être sympathique avec (et pour) soi-même...
Être un boulet, c'est être un multiple paradoxe...
Être un boulet, c'est faire de sa vie une mascarade...mais cela ne veut pas dire que l'on en n'est pas conscient...
Au moins, désormais cela sera écrit...
Écrire est pour moi une thérapie, un déclic (ou des claques ?)...
Mais c'est peut-être une thérapie de façade...?!
L'avenir me le dira...ou plutôt (non plutôt c'est la chien de Mickey ! ) l'avenir l'écrira...
P.S : Ceci n'est pas une auto-biographie...
Mais être un boulet c'est écrire ce "P.S"...
Parce qu'on écrit "vrai" que ce que l'on connaît...
Être un boulet c'est (se) mentir, biaiser, tricher, se cacher derrière des barrières que la vie t'impose (comme à tout le monde) et ne jamais les franchir...parfois les contourner, mais au final ne jamais les franchir, refuser d'être le "hurdler" de sa propre vie.
C'est dire et savoir des choses sur soi et la vie,mais ne pas faire en sorte de les affronter par peur de l'échec...
C'est connaître la maxime "il vaut mieux ne pas y arriver que ne pas essayer", savoir que c'est la vérité, mais ne pas la mettre en pratique...
Être un boulet, c'est fuir les conflit nécessaire aux avancés...
c'est être peureux, lâche (envers soi même et ses proches) et le savoir...
c'est refuser de "grandir", refuser les réalités...c'est "se laisser vivre".
Être un boulet, c'est se créer des projets et des rêves presque utopique, se laisser persuader (et s'en persuader) que l'on est pas fait pour une vie "normale", se croire "en marge", se croire "anti-conventionnel", penser que l'on est pas comme les autres, mais ne rien faire pour ne pas l'être ou du moins ne rien faire pour prouver, justifier qu'on est "différent"...
C'est vouloir avancer, mais ne rien faire pour, c'est être dans la théorie (dans sa tête, quand on se parle seul à seul) et non pas dans la pratique, dans les actes...
Être un boulet, c'est vivoter, galérer...demander des "coups de pouce" financier, et ramer pour rendre la pareille...
C'est ne pas s'assumer finalement, et être léger par rapport à cela...
C'est voir la réalité en face,mais ne pas se la gifler...
Être un boulet, c'est donner des leçons et des conseils de vie aux autres (parce que tu te masturbes intellectuellement) et ne pas les appliquer à soi même...comme si ton entourage était des cobayes, des "essais", des couvertures, des protections, des "premières lignes"...
Être un boulet, c'est s'inventer un personnage...souriant, vivant, drôle, optimiste, iintelligent, réfléchi, imaginatif, aérien, candide...
Mais être anxieux, névrosé, parano, craintif, pragmatique, laisser sa vie en jachère...
C'est paraître "rose", alors que l'on est "noir"...
C'est vouloir être là pour les autres et s'oublier...vouloir être là pour les autres alors que l'on est pas là pour soi-même...
C'est se créer multiples passions, engagement, curiosités pour se sentir "utile" à la société pour masquer que l'on ne "sert à rien".
Être un boulet, c'est être incapable de prendre des décisions fortes, de bousculer les choses et (ce)ceux que l'on veut bousculer pour avancer...
c'est faire du surplace...
C'est avoir besoin d'aide, des autres, mais refuser de l'avouer pour paraître fort
Être un boulet, c'est faire de l'empathie pour être sympathique, mais ne pas être sympathique avec (et pour) soi-même...
Être un boulet, c'est être un multiple paradoxe...
Être un boulet, c'est faire de sa vie une mascarade...mais cela ne veut pas dire que l'on en n'est pas conscient...
Au moins, désormais cela sera écrit...
Écrire est pour moi une thérapie, un déclic (ou des claques ?)...
Mais c'est peut-être une thérapie de façade...?!
L'avenir me le dira...ou plutôt (non plutôt c'est la chien de Mickey ! ) l'avenir l'écrira...
P.S : Ceci n'est pas une auto-biographie...
Mais être un boulet c'est écrire ce "P.S"...
Parce qu'on écrit "vrai" que ce que l'on connaît...