Chronique d'un suicide littéraire assumé : Jour 48
Quand j'aurais usé tous les ongles que m'offrent inlassablement mes dix doigts. Quand j'aurais sué toutes les angoisses que fait naître mon esprit. Quand j'aurais vidé toutes les larmes des canaux lacrymaux qui pleuvent en moi. Quand j'aurais poncé le...