Comment aiment les hommes ? histoire d'un profond malentendu...
On les dit dépassés, paumés, angoissés et incapables de "bien" aimer.
"On", ce sont les femmes. Ont-elles tort ou raisons ? Les hommes aiment-ils mal , ou autrement ?
Comment aiment les hommes ? si on posait la questions aux femmes les définitions seraient sûrement : "ils ne pensent qu'au sexe, ils aiment comme des menteurs, des pas fiables, des imposteurs, des qui-ont-peur-de-l'engagement...".
Le discours de surface chez la femme est celui la : ils sont nuls et lâches...
Mais si on creuse un peu, il redevient : ils sont forts, on a envie de se reposer sur eux...
A l'inverse, les hommes afficheraient en surface un discours très respectueux des femmes : elles sont douces, tendres, responsables, affectueuses...
Mais en profondeur, les jugements sévères reviendraient au galop : ce sont toutes des "chieuses", elles ne savent pas ce qu'elle veulent...
Le malentendu est profond.
Il y a autant d'hommes que de femmes qui ne savent pas aimer. l'amour est une folie qui, comme toute folie, n'est pas sexuée. L'amour n'est pas structurant, ce qui l'est, c'est ce qui vient après : s'accommoder de cette folie, la vivre au quotidien et la gérer à deux.
Comment aiment les hommes ?
J'ai envie de répondre : simplement. C'est leur force...
Il sont gais s'ils savent qu'ils auront de l'amour et du vin. Les femmes, elles se posent beaucoup de questions : "Cet homme là est-il le bon ? le vin est frais ? c'est du Bourgogne ? Dommage je préfère le Bordeaux...j'aurais espérée un autre restaurant, mais qu'est ce qu'il me fait rire !...Ne me sentirais-je pas trop étouffée avec lui ?...Oh lala qu'est-ce qu'il est subtil !!! "
Leurs problématique est de deux sortes : elles veulent toujours plus et ne savent pas cloisonner. Les femmes modernes sont devenues des insatisfaites chroniques.
La majorité des hommes, eux, savent mettre de côté les doutes : quand ça va...ça va. c'est à partir du moment ou il y a un grain de sable que le doute revient saluer l'homme.
Ce qui est fatiguant chez les femmes, c'est leur obsession de la preuve d'amour. Demande-t-on sans cesse des preuves d'amitié à ses amies ?
Nous nous retrouvons devant une constante évaluation de notre amour (présence, détachement, attention, engagement, liberté,, etc... ), avec le sentiment que les femmes ne sont jamais satisfaites.
Depuis la révolution féministe des années 1970, les femmes ont imposée, souvent à marche forcée, de nouveaux codes amoureux. Et les hommes ont suivis le mouvement sans se poser plus de questions (malheur !!!).
Des siècles de coutumes et de cultures prétendues viriles les ont convaincus qu'ils n'avaient pas le droit aux émotions, ont rejeté leur intériorité et leur ont interdit d'être eux-mêmes.
Difficile donc, de s'adapter, en une génération, à de nouvelles femmes qui les veulent tendres et émues...mais forts et solides.
Les hommes ont compris que les chosent avaient changés, mais ils n'en ont pas profités pour mettre en place leur propre marque sur ce changement. Ils sont restés dans le fantasme de la construction d'une masculinité idéale...
Mais tout ça ne marche plus...les femmes ont imposé leur langage : bien aimer, c'est aimer comme une femme...
Sauf que, scoop !!! , les hommes ne sont pas des femmes comme les autres...
Les femmes cherchent des hommes parfaits, polyvalent dans leurs qualités.
Les hommes se sentent profondément imparfaits...
Aujourd'hui, les hommes ont du mal à approcher les femmes, par peur de l'échec, du rejet, et parce que leur désir n'est pas assez fort pour affronter ce rejet.
Pourtant le sublime dans le masculin c'est d'être "chasseur".
Mais notre génération est une génération de "cueilleur". Si tous les signaux sont au vert, si tout est prêt a être cueilli, nous irons vers l'autre...
Alors une question se pose : Pourquoi les femmes entretiennent-elles cette peur dans laquelle personne n'a rien à gagner ?
Parce qu'elles ne sont pas sûre de leur propre désir. Elles veulent être rassurées, mais aussi chassées...voire chasseuses.
Les femmes nous collent leurs propres contradictions sur le dos, et comme elles parlent entre elles et qu'elles se soutiennent, elles s'offrent une sorte de certitude de groupe qui les renforce dans leur refus de s'interroger sur elles-mêmes, de se remettre en question.
Pendant des siècles, les hommes ont traités les femmes comme des objets. ok. d'accord...
Mais au moins ils n'ont jamais tenté de les transformer.
Les femmes, elles, ont voulu changer les hommes, au risque de se priver de quelque chose de primordial : la complémentarité.
Comment aiment les hommes ?
Pas comme les femmes...ils aiment avec passion, peur, tendresse, maladresse, intensité, profondeur...mais à leur façon.
Mais alors, comment les femmes pourraient aider les hommes à mieux les aimer ?
Elles pourraient leurs laisser un peu de place...sans perdre ce qu'elles ont conquis. Céder un peu de terrain...laisser l'homme agir, penser, prendre des décisions, même lorsqu'il s'agit du couple et du quotidien...or sur ce point, elles veulent souvent garder la main.
Sûrement qu'un jour les femmes sauront protéger leur liberté sans verser dans la revendication agressive et féministe...
Les choses bougent...et puis Mai 68 n'est pas si loin que ça...
Il faut parfois laisser faire le temps...
"On", ce sont les femmes. Ont-elles tort ou raisons ? Les hommes aiment-ils mal , ou autrement ?
Comment aiment les hommes ? si on posait la questions aux femmes les définitions seraient sûrement : "ils ne pensent qu'au sexe, ils aiment comme des menteurs, des pas fiables, des imposteurs, des qui-ont-peur-de-l'engagement...".
Le discours de surface chez la femme est celui la : ils sont nuls et lâches...
Mais si on creuse un peu, il redevient : ils sont forts, on a envie de se reposer sur eux...
A l'inverse, les hommes afficheraient en surface un discours très respectueux des femmes : elles sont douces, tendres, responsables, affectueuses...
Mais en profondeur, les jugements sévères reviendraient au galop : ce sont toutes des "chieuses", elles ne savent pas ce qu'elle veulent...
Le malentendu est profond.
Il y a autant d'hommes que de femmes qui ne savent pas aimer. l'amour est une folie qui, comme toute folie, n'est pas sexuée. L'amour n'est pas structurant, ce qui l'est, c'est ce qui vient après : s'accommoder de cette folie, la vivre au quotidien et la gérer à deux.
Comment aiment les hommes ?
J'ai envie de répondre : simplement. C'est leur force...
Il sont gais s'ils savent qu'ils auront de l'amour et du vin. Les femmes, elles se posent beaucoup de questions : "Cet homme là est-il le bon ? le vin est frais ? c'est du Bourgogne ? Dommage je préfère le Bordeaux...j'aurais espérée un autre restaurant, mais qu'est ce qu'il me fait rire !...Ne me sentirais-je pas trop étouffée avec lui ?...Oh lala qu'est-ce qu'il est subtil !!! "
Leurs problématique est de deux sortes : elles veulent toujours plus et ne savent pas cloisonner. Les femmes modernes sont devenues des insatisfaites chroniques.
La majorité des hommes, eux, savent mettre de côté les doutes : quand ça va...ça va. c'est à partir du moment ou il y a un grain de sable que le doute revient saluer l'homme.
Ce qui est fatiguant chez les femmes, c'est leur obsession de la preuve d'amour. Demande-t-on sans cesse des preuves d'amitié à ses amies ?
Nous nous retrouvons devant une constante évaluation de notre amour (présence, détachement, attention, engagement, liberté,, etc... ), avec le sentiment que les femmes ne sont jamais satisfaites.
Depuis la révolution féministe des années 1970, les femmes ont imposée, souvent à marche forcée, de nouveaux codes amoureux. Et les hommes ont suivis le mouvement sans se poser plus de questions (malheur !!!).
Des siècles de coutumes et de cultures prétendues viriles les ont convaincus qu'ils n'avaient pas le droit aux émotions, ont rejeté leur intériorité et leur ont interdit d'être eux-mêmes.
Difficile donc, de s'adapter, en une génération, à de nouvelles femmes qui les veulent tendres et émues...mais forts et solides.
Les hommes ont compris que les chosent avaient changés, mais ils n'en ont pas profités pour mettre en place leur propre marque sur ce changement. Ils sont restés dans le fantasme de la construction d'une masculinité idéale...
Mais tout ça ne marche plus...les femmes ont imposé leur langage : bien aimer, c'est aimer comme une femme...
Sauf que, scoop !!! , les hommes ne sont pas des femmes comme les autres...
Les femmes cherchent des hommes parfaits, polyvalent dans leurs qualités.
Les hommes se sentent profondément imparfaits...
Aujourd'hui, les hommes ont du mal à approcher les femmes, par peur de l'échec, du rejet, et parce que leur désir n'est pas assez fort pour affronter ce rejet.
Pourtant le sublime dans le masculin c'est d'être "chasseur".
Mais notre génération est une génération de "cueilleur". Si tous les signaux sont au vert, si tout est prêt a être cueilli, nous irons vers l'autre...
Alors une question se pose : Pourquoi les femmes entretiennent-elles cette peur dans laquelle personne n'a rien à gagner ?
Parce qu'elles ne sont pas sûre de leur propre désir. Elles veulent être rassurées, mais aussi chassées...voire chasseuses.
Les femmes nous collent leurs propres contradictions sur le dos, et comme elles parlent entre elles et qu'elles se soutiennent, elles s'offrent une sorte de certitude de groupe qui les renforce dans leur refus de s'interroger sur elles-mêmes, de se remettre en question.
Pendant des siècles, les hommes ont traités les femmes comme des objets. ok. d'accord...
Mais au moins ils n'ont jamais tenté de les transformer.
Les femmes, elles, ont voulu changer les hommes, au risque de se priver de quelque chose de primordial : la complémentarité.
Comment aiment les hommes ?
Pas comme les femmes...ils aiment avec passion, peur, tendresse, maladresse, intensité, profondeur...mais à leur façon.
Mais alors, comment les femmes pourraient aider les hommes à mieux les aimer ?
Elles pourraient leurs laisser un peu de place...sans perdre ce qu'elles ont conquis. Céder un peu de terrain...laisser l'homme agir, penser, prendre des décisions, même lorsqu'il s'agit du couple et du quotidien...or sur ce point, elles veulent souvent garder la main.
Sûrement qu'un jour les femmes sauront protéger leur liberté sans verser dans la revendication agressive et féministe...
Les choses bougent...et puis Mai 68 n'est pas si loin que ça...
Il faut parfois laisser faire le temps...