Comment aiment les hommes ? histoire d'un profond malentendu...

Publié le par Alex Taurel

On les dit dépassés, paumés, angoissés et incapables de "bien" aimer.
"On", ce sont les femmes. Ont-elles tort ou raisons ? Les hommes aiment-ils mal , ou autrement ?

Comment aiment les hommes ? si on posait la questions aux femmes les définitions seraient sûrement : "ils ne pensent qu'au sexe, ils aiment comme des menteurs, des pas fiables, des imposteurs, des qui-ont-peur-de-l'engagement...".
Le discours de surface chez la femme est celui la : ils sont nuls et  lâches...
Mais si on creuse un peu, il redevient : ils sont forts, on a envie de se reposer sur eux...
A l'inverse, les hommes afficheraient en surface un discours très respectueux des femmes : elles sont douces, tendres, responsables, affectueuses...
Mais en profondeur, les jugements sévères reviendraient au galop : ce sont toutes des "chieuses", elles ne savent pas ce qu'elle veulent...

Le malentendu est profond.

Il y a autant d'hommes que de femmes qui ne savent pas aimer. l'amour est une folie qui, comme toute folie, n'est pas sexuée. L'amour n'est pas structurant, ce qui l'est, c'est ce qui vient après : s'accommoder de cette folie, la vivre au quotidien et la gérer à deux.

Comment aiment les hommes ?
J'ai envie de répondre : simplement. C'est leur force...
Il sont gais s'ils savent qu'ils auront de l'amour et du vin. Les femmes, elles se posent  beaucoup de questions : "Cet homme là est-il le bon ? le vin est frais ? c'est du Bourgogne ? Dommage je préfère le Bordeaux...j'aurais espérée un autre restaurant, mais qu'est ce qu'il me fait rire !...Ne me sentirais-je pas trop étouffée avec lui ?...Oh lala qu'est-ce qu'il est subtil !!! "
Leurs problématique est de deux sortes : elles veulent toujours plus et ne savent pas cloisonner. Les femmes modernes sont devenues des insatisfaites chroniques.
La majorité des hommes, eux, savent mettre de côté les doutes : quand ça va...ça va. c'est à partir du moment ou il y a un grain de sable que le doute revient saluer l'homme.

Ce qui est fatiguant chez les femmes, c'est leur obsession de la preuve d'amour. Demande-t-on sans cesse des preuves d'amitié à ses amies ?
Nous nous retrouvons devant une constante évaluation de notre amour (présence, détachement, attention, engagement, liberté,, etc... ), avec le sentiment que les femmes ne sont jamais satisfaites.

Depuis la révolution féministe des années 1970, les femmes ont imposée, souvent à marche forcée, de nouveaux codes amoureux. Et les hommes ont suivis le mouvement sans se poser plus de questions (malheur !!!).
Des siècles de coutumes et de cultures prétendues viriles les ont convaincus qu'ils n'avaient pas le droit aux émotions, ont rejeté leur intériorité et leur ont interdit d'être eux-mêmes.
Difficile donc, de s'adapter, en une génération, à de nouvelles femmes qui les veulent tendres et émues...mais forts et solides.
Les hommes ont compris que les chosent avaient changés, mais ils n'en ont pas profités pour mettre en place leur propre marque sur ce changement. Ils sont restés dans le fantasme de la construction d'une masculinité idéale...

Mais tout ça ne marche plus...les femmes ont imposé leur langage : bien aimer, c'est aimer comme une femme...
Sauf que, scoop !!! , les hommes ne sont pas des femmes comme les autres...

Les femmes cherchent des hommes parfaits, polyvalent dans leurs qualités.
Les hommes se sentent profondément imparfaits...

Aujourd'hui, les hommes ont du mal à approcher les femmes, par peur de l'échec, du rejet, et parce que leur désir n'est pas assez fort pour affronter ce rejet.
Pourtant le sublime dans le masculin c'est d'être "chasseur".
Mais notre génération est une génération de "cueilleur". Si tous les signaux sont au vert, si tout est prêt a être cueilli, nous irons vers l'autre...

Alors une question se pose : Pourquoi les femmes entretiennent-elles cette peur dans laquelle personne n'a rien à gagner ?
Parce qu'elles ne sont pas sûre de leur propre désir. Elles veulent être rassurées, mais aussi chassées...voire chasseuses.

Les femmes nous collent leurs propres contradictions sur le dos, et comme elles parlent entre elles et qu'elles se soutiennent, elles s'offrent une sorte de certitude de groupe qui les renforce dans leur refus de s'interroger sur elles-mêmes, de se remettre en question.
Pendant des siècles, les hommes ont traités les femmes comme des objets. ok. d'accord...
Mais au moins ils n'ont jamais tenté de les transformer.
Les femmes, elles, ont voulu changer les hommes, au risque de se priver de quelque chose de primordial : la complémentarité.

Comment aiment les hommes ?
Pas comme les femmes...ils aiment avec passion, peur, tendresse, maladresse, intensité, profondeur...mais à leur façon.

Mais alors, comment les femmes pourraient aider les hommes à mieux les aimer ?
Elles pourraient leurs laisser un peu de place...sans perdre ce qu'elles ont conquis. Céder un peu de terrain...laisser l'homme agir, penser, prendre des décisions, même lorsqu'il s'agit du couple et du quotidien...or sur ce point, elles veulent souvent garder la main.

Sûrement qu'un jour les femmes sauront protéger leur liberté sans verser dans la revendication agressive et féministe...

Les choses bougent...et puis Mai 68 n'est pas si loin que ça...
Il faut parfois laisser faire le temps...
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O
Bonjour,<br />  <br /> J'aime parcourir le net pour découvrir les blogs (pour certains c’est la bonne surprise pour d’autres c’est la catastrophe industrielle) je suis donc tombé sur celui ci hier soir, Verdict……<br />  Malheureusement ce n’est pas très brillant, un vocabulaire approximatif et très mal utilisé, des fautes d'orthographe en veux tu en voila, un style pompeux et j’en passe.<br />  Mais ce qui est véritablement gênant c’est que l'auteur s’auto approprie  le style Carry Bradshaw sur les questions existentielles hommes –femmes, réduites ici a leurs plus simples expressions, et  le meilleur reste à venir….<br />  Le style Californication également (quelle culture !) dont transpire ton blog est absolument ridicule l’écrivain incompris vivant dans une jungle urbaine dont tu te sens isolé c’est bon…. tout le monde le fait..... D’autant plus qu’apparemment tu habites à Hyères et non pas New York, donc reste à ta place stp.<br /> Ecoute achète toi un journal intime et nous inflige plus ca stp nous a on a rien fait.<br />  <br /> Ah également il ne sert a rien de vouloir citer les plus grands : (Oscar Wilde ici) si c’est pour ne citer que leurs pensées issues de l’ile de la tentation et au vu de ton blog  je pense que ta culture ne va pas beaucoup plus loin que Tf1 et tu sais avoir une culture alternative c’est bien, la travailler c’est mieux.<br /> Ne te vexe ton blog est publique et il est dans mon bon droit de m’exprimer publiquement, tu nous infliges ca, je t’inflige ca.<br />  <br />  <br /> Bonne journée et à jamais
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A
<br /> Je ne suis aucunement véxé par une critique. Bien que la tienne soit à l'image du style dont tu m'affubles :pompeux !<br /> Si tu voulais faire une critique avec un style...tiens toi y...parce que commencer en s'adressant à l'auteur genre "critique littéraire" puis finir en tutoyant...c'est...limite comme style.enfin<br /> bref, je prends en considération toutes ces remarques.<br /> <br /> Mais...Qui a dit que j'étais cultivé ou que je me disais cultivé ?<br /> A-t-on besoin de l'être popur écrire ce qu'on penses de certaines choses de la vie ?<br /> Et ne crois tu pas que "le niveau" de culture est très aléatoire et approximatif....?<br /> <br /> Apparemment, il y a un certain besoin chez toi (puisque apparemment on se tutoie) de faire le critique littéraire. (alors que je n'ai en aucun cas la prétention de faire un blog<br /> littéraire)<br /> Je suis vraiment désolé de t'infliger cela...en même temps rien n'est infligé...tu as choisi de t'y rendre, et si tu as lu quelques articles...cela confirme que personne ne t'y a obligé,...tu y es<br /> resté de ton propre chef.<br /> je n'oblige en rien qu'on s'attarde sur la profondeur du contenu de mes écrits.<br /> <br /> Maintenant je vois qu'apparement, tu y trouves du Carrie Bradshaw (ok, bah...je suis tombé quelques fois sur la série, mais je doute que cela fasse de moi un fan qui pompe le style de cette<br /> journaliste virtuelle).<br /> Quand à Hank Moody de Californication, oui il y a sûrement une influence...mais je me demande..? qui est tu pour juger cela ridicule ? Selon quels critères est-ce ridicule ?<br /> Je ne me vois pas comme un écrivain imcompris (puisque je n'ai pas la prétention d'en être un) vivant dans une jungle urbaine, mais plutot, je trouve que les rapports humains sont une<br /> jungle...<br /> et je ne comprends donc pas en quoi cela est dérangeant d'etre Hyerois et non New Yorkais (d'ailleurs pour info, Hank Moody vit a L.A dans la série) pour s'attarder et aimer à faire ses analyses<br /> personelle des rapports humains ? Il y a aussi des "gens" qui vivent a Hyères...<br /> <br /> Ensuite je dirais que je cite qui je souhaite citer, Oscar Wilde, Carlos ou Sim s'il le fallait, que cette citation, n'est pas issue de l'ile de la tentation...(ouf, merci ! je savais<br /> pas)<br /> Et enfin je remarque que tu évalues souvent ma culture (et non, elle ne s'arrete pas à TF1)...<br /> me faisant sûrement et habilement (pompeusement ?) comprendre que tu dois être cultivé...<br /> Mais cultivé comment ? combien ? y-a-t-il une graduation ? une échelle de valeur ? s'il te plait sors moi de ma torpeur de cette non-connaisance !<br /> Il me semblait que la culture était difficlement jugeable, quelle ne s'arrétait jamais, quelle n'avait surtout pas de cloison...enfin...en tant que "non-cultivé" je dois faire erreur...<br /> <br /> Ne te vexe pas, ton commentaire est publique et il est dans mon bon droit de m'exprimer publiquement, tu m'infliges ca, je t'inflige ca.<br /> <br /> Bonne journée  (et apparemment à jamais...enfin si tu veux revenir t'infliger des trucs et m'en infliger, je suis partant : infligeons nous ! )<br /> <br /> <br />