Les amis...what else ?!
On entend souvent dire "on choisit pas sa famille" ce qui est vrai.
A contrario, et c'est primordial, on a le choix (et il vaut mieux avoir le nez fin) de ses amis.
J'insiste bien sur le terme "AMI"...
Je ne parle pas là, du terme bien trop souvent galvaudé par certains, notamment jeunes, qui utilise ce mot pour définir n'importe quelle relation de petite proximité, précaire ou pas avec une personne extérieure à sa famille.
Car c'est bien de cela qu'il s'agit...un ami (ou amie selon la convenance de chacun) cela peut-être toutes personnes extérieure à sa famille...
Tout, mais pas n'importe quoi...
L'amitié doit être (et est) la relation la plus sincère qu'il puisse y avoir.
"L'intérêt" doit être banni du champ lexical de ce genre de relation.
Alors encore une fois, je veux préciser que je ne me lance pas dans la définition propre de l'ami, mais plutôt, j'en fais une interprétation personnelle, avec ma sensibilité, mon vécu et mes expériences de ce j'attends, j'entends et je perçois de l'amitié.
J'ai récemment vu un épisode de "How i met you mother" où Barney parle d'un livre de loi concernant l'amitié...
Cela m'a frappé, et je me suis dit qu'en fait dans l'amitié, bien sur qu'il y a des règles...des règles de loi...
Certes on ne les a jamais lu, on en a jamais parlé entre nous, personnes n'a signé de contrat...rien de tout cela.
Mais c'est un contrat moral, ce sont des règles implicites...Pas besoin d'en parler pour savoir ce qu'elles sont.
Et les trahir en reviens à renier le sens même de l'amitié...à se renier soi même.
L'amitié c'est un mariage non-déclaré, où l'on a pas besoin de se promettre "pour le meilleur et pour le pire" tellement cela paraît évident...
Alors attention, dans mon interprétation et dans mon "feeling" je ne dis pas que je ne me suis jamais trompé...
Il n'empêche...ce ressentis envers les bonnes personnes...tu l'as très vite.
L'ami n'est pas forcément la personne avec qui tu "délires" forcément le plus.
Un ami c'est un feeling...difficilement exprimable avec des mots.
C'est donc un exercice périlleux auquel je m'attaque.
On parle de confiance...la confiance peut être trahis, en couple et en amitié.
Mais j'ai pour conviction de penser qu'avec ceux que je sais mes vrais amis, cela n'arrivera jamais.
C'est un ressenti de "risque zéro"
On n'a pas forcément besoin de grands mots ou de grandes déclarations...
On sait...
On sent...
On est certains qu'eux aussi ont dans leurs têtes ce "livre de loi du code de l'amitié"
Mais dans les coups durs...on attends pas forcément et on n'a d'ailleurs pas de grandes conversations...
On sent qu'il sont là, on sait et sent qu'ils ont de l'empathie pour ce que tu vis...
L'ami a la pudeur en lui.
Leurs simple présence te rassures et te donne l'oxygène nécessaire pour repartir...et ce n'est pas forcément une questions d'années en commun.
Je ne sais pas très bien où je vais avec ces mots...je ne sais d'ailleurs pas où je veux aller...
Je sais simplement que j'avais besoin de parler d'eux.
Comme tu le sais Jean, si tu es attentif à ce que je te livre, ma récente période difficile a encore plus mit en exergue, ceux qui sont ma famille de choix.
Il n'y a pas de récompenses, simplement sortir ce que je penses d'eux est pour moi indispensable.
Pour les remercier d'être simplement là, d'être simplement eux (derrière l'écran c'est plus facile...n'oublies pas que "les hommes se cachent pour pleurer"...)
Ils savent qui ils sont...
Ils savent ce qu'ils sont pour moi...
Ils savent désormais ce que j'écris sur eux...
Parce que, les ami(e)s...what else ?!
A contrario, et c'est primordial, on a le choix (et il vaut mieux avoir le nez fin) de ses amis.
J'insiste bien sur le terme "AMI"...
Je ne parle pas là, du terme bien trop souvent galvaudé par certains, notamment jeunes, qui utilise ce mot pour définir n'importe quelle relation de petite proximité, précaire ou pas avec une personne extérieure à sa famille.
Car c'est bien de cela qu'il s'agit...un ami (ou amie selon la convenance de chacun) cela peut-être toutes personnes extérieure à sa famille...
Tout, mais pas n'importe quoi...
L'amitié doit être (et est) la relation la plus sincère qu'il puisse y avoir.
"L'intérêt" doit être banni du champ lexical de ce genre de relation.
Alors encore une fois, je veux préciser que je ne me lance pas dans la définition propre de l'ami, mais plutôt, j'en fais une interprétation personnelle, avec ma sensibilité, mon vécu et mes expériences de ce j'attends, j'entends et je perçois de l'amitié.
J'ai récemment vu un épisode de "How i met you mother" où Barney parle d'un livre de loi concernant l'amitié...
Cela m'a frappé, et je me suis dit qu'en fait dans l'amitié, bien sur qu'il y a des règles...des règles de loi...
Certes on ne les a jamais lu, on en a jamais parlé entre nous, personnes n'a signé de contrat...rien de tout cela.
Mais c'est un contrat moral, ce sont des règles implicites...Pas besoin d'en parler pour savoir ce qu'elles sont.
Et les trahir en reviens à renier le sens même de l'amitié...à se renier soi même.
L'amitié c'est un mariage non-déclaré, où l'on a pas besoin de se promettre "pour le meilleur et pour le pire" tellement cela paraît évident...
Alors attention, dans mon interprétation et dans mon "feeling" je ne dis pas que je ne me suis jamais trompé...
Il n'empêche...ce ressentis envers les bonnes personnes...tu l'as très vite.
L'ami n'est pas forcément la personne avec qui tu "délires" forcément le plus.
Un ami c'est un feeling...difficilement exprimable avec des mots.
C'est donc un exercice périlleux auquel je m'attaque.
On parle de confiance...la confiance peut être trahis, en couple et en amitié.
Mais j'ai pour conviction de penser qu'avec ceux que je sais mes vrais amis, cela n'arrivera jamais.
C'est un ressenti de "risque zéro"
On n'a pas forcément besoin de grands mots ou de grandes déclarations...
On sait...
On sent...
On est certains qu'eux aussi ont dans leurs têtes ce "livre de loi du code de l'amitié"
Mais dans les coups durs...on attends pas forcément et on n'a d'ailleurs pas de grandes conversations...
On sent qu'il sont là, on sait et sent qu'ils ont de l'empathie pour ce que tu vis...
L'ami a la pudeur en lui.
Leurs simple présence te rassures et te donne l'oxygène nécessaire pour repartir...et ce n'est pas forcément une questions d'années en commun.
Je ne sais pas très bien où je vais avec ces mots...je ne sais d'ailleurs pas où je veux aller...
Je sais simplement que j'avais besoin de parler d'eux.
Comme tu le sais Jean, si tu es attentif à ce que je te livre, ma récente période difficile a encore plus mit en exergue, ceux qui sont ma famille de choix.
Il n'y a pas de récompenses, simplement sortir ce que je penses d'eux est pour moi indispensable.
Pour les remercier d'être simplement là, d'être simplement eux (derrière l'écran c'est plus facile...n'oublies pas que "les hommes se cachent pour pleurer"...)
Ils savent qui ils sont...
Ils savent ce qu'ils sont pour moi...
Ils savent désormais ce que j'écris sur eux...
Parce que, les ami(e)s...what else ?!